Essais de poetique des jardins.

Firenze, Olschki Ed. 2019, cm 17 x 24, 138 pp., br. Istituto nazionale di studi sul Rinascimento. Quaderni di «Rinascimento»,53. In Montaigne, ‘giustizia’ è un termine polisemico, non privo di indeterminatezza, poiché designa ad un tempo la virtù cardinale e la conformità alle norme positive, l’insieme delle magistrature e il concetto morale di equità, cioè sia esigenze etiche e politiche sia la loro realizzazione assai aleatoria. La sua posizione di Conseiller du roy en la Cour du Parlement comportava conoscenze pratiche e teoriche, mentre quella di civilista richiedeva la comprensione del diritto romano e del diritto consuetudinario, in virtù della loro ampia compenetrazione nel sistema giudiziario francese allora vigente. La denuncia di procedure confuse, della molteplicità delle magistrature, della venalità delle cariche, induce Montaigne a interrogarsi sulla natura delle norme con la conseguente demistificazione dei costumi. Si può quindi operare un raffronto tra il lessico giuridico, in particolare dei costumi e delle ordinanze, ormai desueto, e quello di Montaigne. Tuttavia bisogna notare che la formalizzazione di gran parte di questo lessico era ancora embrionale e che l'uso che Montaigne ne faceva andava nel senso di limitarne gli aspetti tecnici per avvicinarlo invece al linguaggio quotidiano. Solo con Montaigne ci si apre alla modernità giuridica.

Carnet il accompagne l'exposition. Zurich, Fondation Auer Ory pour la photographie Hermance 2014, cm.15x20, pp.64, 85 illustrations brossura. Tirage 300 exemplaires.

Traduit de l'allemand par Marie Bonaparte er M.me E.Marty. Lagny-sur-Marne, Gallimard 1952, cm.12x19, pp.254, ill.bn.ft., brossura. Coll.Les Essais,LXI.

Firenze, Sismel - Ediz.del Galluzzo 2014, cm.14,5x21, pp.XII,480, brossura copertina figurata a colori. Coll. Micrologus Library, 63. Le premier article de ce recueil, dédié à la Phisionomia de Michel Scot, et le dernier, qui analyse l'explication du mouvement volontaire selon Jacques Despars, donnent le ton de l'ensemble. Bien que soit privilégiée la voix des médecins, entre XIIe et XVe siècle, elle n'est pas seule à se faire entendre et elle ne se restreint pas au simple jeu des quatre humeurs. Elle entre en résonance avec les propos de philosophes, d'astrologues ou d'alchimistes et répercute autant les attentes propres aux sociétés médiévales et à leurs composantes culturelles que des interrogations qui ont traversé les siècles depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours. Comment rendre compte de l'animation du corps et des interférences entre le somatique et le psychologique? Quelles parts accorder aux données physiologiques, à la morale, aux influences du milieu extérieur dans le bon fonctionnement du corps ou ses dérèglements et dans les comportements humains? Quel regard le médecin porte-t-il sur les limites de son art et ses possibles erreurs? Tels sont les thèmes qui parcourent les seize articles parus entre 1993 et 2014 dans Micrologus ou Micrologus' Library et les deux longs inédits rassemblés en ce volume. Le mode d'écriture choisi par les auteurs appelés comme témoins est pris en considération, qu'il s'agisse du labyrinthe que forme le Conciliator de Pietro d'Abano ou du style cru de Mondino de' Liuzzi, leur pensée est replacée dans la longue durée entre Antiquité et Renaissance.