Umberto Fioravanti e Giosué Borsi. Dialogo di uno scultore e un letterato negli anni del Caffè Bardi.

Traduz.di Roberta Rambelli. Milano, TEA su licenza Longanesi 2010, cm.14x21,5, pp.403,(3), brossura, cop.fig. a colori. Coll.Best Seller.

Editions Atlas 2009, cm.22,5x29, pp.240, ill.col. Couverture rigide. Coll.Atlas Nature. Consacré aux plus beaux chiens du monde, ce titre s'intéresse tout particulièrement à leur caractère et à leur comportement général. Pour chaque race sont présentés les qualités et les défauts de l'animal, des conseils sont donnés au maître pour qu'il puisse adapter son éducation, et une rubrique est consacrée à la manière dont le chien se comporte avec les enfants. Ainsi, le bobtail est un gros chien affectueux, débordant d'énergie et d'un joyeux tempérament, toujours prêt à jouer et à faire des farces. Le colley, lui, veille sur les membres de sa famille comme sur les brebis, c'est la meilleure nourrice que l'on puisse trouver ! Le bichon maltais, avec son grand besoin d'amour, convient bien à une personne ayant du temps libre. Le setter irlandais, tout feu, tout flamme, paraît parfois un peu fou ! Le bull-terrier a un tempérament obstiné, mais est franc et affectueux. Un ouvrage indispensable pour apprendre à mieux connaître les chiens !

Introduzione di Umberto Albini. Prefazione traduzione e note di Elena Bono. Milano, Garzanti 1977, cm.11x17, pp.XXXVIII,224, brossura copertina figurata a colori. Coll. Grandi Libri.

Traduzione di Andrea Montemagni. Massa, Edizioni Clandestine 2017, cm.12,5x19, pp.142, brossura copertina figurata a colori. Coll.Highlander. Con il diffondersi della peste a Milano nel XVII secolo, due innocenti furono ingiustamente accusati, processati e incriminati per essere responsabili del contagio pestilenziale tramite sostanze misteriose. L'accusa, infondata, proveniva da una donna del popolo, Caterina Rosa. Nell'estate del 1630, Guglielmo Piazza (commissario di sanità) e Gian Giacomo Mora (barbiere) vennero condannati alla pena capitale e la casa-bottega di Mora destinata alla distruzione. Una colonna venne eretta sulle sue macerie, per divenire monumento all'infamia e alla memoria. Un'opera con cui il Manzoni mette in luce l'errore dei giudici, il loro abuso di potere e, soprattutto, la totale assenza di buonsenso e comprensione.