Stanislavskij prova Otello.

Bari, Dedalo Libri 1975, cm.14x21, pp.149, brossura, cop.fig. Coll.Saggi,20.

Firenze-London, G.C. Sansoni The Phaidon Press 1956, cm.23,5x31, pp.207,144 tavv.bn.ft.e 11 tavv.a col.applicate. Un ritratto di Bruegel in antip., legatura ed.in tutta tela, sovraccop.fig.a col.

Edited by Margot Heller, Beatrix Ruf. Text by Fredi Fischli, Liam Gillick, Fionn Meade, Niels Olsen, Beatrix Ruf. Zurich, JRP|Ringier 2015, cm.20,5x25, pp.190, ill. hardcover, dust jacket. Uri Aran (born 1977) humorously explores the manipulation of commonplace objects in his videos, drawings, assemblages, texts and sculptures. This first monograph tours the artist's production through a detailed selection of his works, numerous installation views, texts and interviews.

Firenze, Polistampa 2013, cm.17x24, pp.155, ill.a col.nt., brossura, copertina figurata a colori. Coll.Universitario/Ingegneria.6. Tra storia, arte e ingegneria, il testo propone un progetto scientificamente avanzato per l'illuminazione di uno dei più famosi ambienti di Firenze. Un'analisi puntuale e approfondita, arricchita da cenni storici sul Salone e su Palazzo Vecchio e corredata da rilievi e dati sperimentali, prelude a soluzioni illuminotecniche che tengono conto non soltanto delle caratteristiche geometriche e architettoniche dell'ambiente, ma anche delle sue destinazioni d'uso (storica-architettonica, museale-espositiva, cerimoniale-eventi)." L'obiettivo del progetto di luce", scrive l'autrice, "è quello di trovare una combinazione ottimale tra luce naturale e artificiale, riducendo i consumi energetici e assicurando una corretta e interessante esposizione".

Mercure de France 1997, cm.10,5x18, pp.340, brossura copertina figurata a colori. Collection Folio. " Je me souvenais qu'un jour, dans une plaisanterie sans gaîté, Charlotte m'avait dit qu'après tous ses voyages à travers l'immense Russie, venir à pied jusqu'en France n'aurait pour elle rien d'impossible [...]. Au début, pendant de longs mois de misère et d'errances, mon rêve fou ressemblerait de près à cette bravade. J'imaginerais une femme vêtue de noir qui, aux toutes premières heures d'une matinée d'hiver sombre, entrerait dans une petite ville frontalière [...]. Elle pousserait la forte d'un café au coin d'une étroite place endormie, s'installerait près de la fenêtre, à côté d'un calorifère. La patronne lui apporterait une tasse de thé. Et en regardant, derrière la vitre, la face tranquille des maisons à colombages, la femme murmurerait tout bas : 'C'est la France... Je suis retournée en France. Après... après toute une vie.'" Prix Goncourt et Médicis 1995.