La (s)fortuna di Ganda.

A cura di I.Babitsch. Firenze, FMG Studio Immagini 1990, cm.19,5x14, pp.58, num.figg.a col.nt. legatura editoriale in mz.tela, copertina figurata a colori. Prima edizione.

Firenze, Polistampa 2008, 2 voll. cm.16x24, pp.972, brossura copertine figurate a colori. Coll.Nuove ricerche di storia. Serie II.

Essays by A. Gonzales-Palacios and D. Scarisbrick. Milano, Skira Editore/Éditions de Seuil, 1999, cm.24x28, pp. 180, 100 circa figg.bn.e a col.nt. legatura editoriale con sopraccoperta figurata a colori. “Pourquoi le bijou et pourquoi la peinture?” Dans le tableau du Caravage, le bracelet, le collier et les boucles d’oreille déposés aux pieds de la Madeleine Repentante (Galleria Doria Pamphili, Rome) sont des bijoux exceptionnels qui deviennent uniques du fait de la fascinante technique du peintre. Solitaire, je contemplais ce chef-d’œuvre mais je ne pouvais en rester là, il me fallait partager cet état de grâce que donne la beauté quand elle atteint des sommets à priori infranchissables. Le bonheur doit se transmettre et pour transmettre il faut traduire. C’est ainsi que se définirent le sujet et le but de ce livre. Les coraux d’Arcimboldo et de Mantegna, les pierres précieuses de Brueghel de Velours, les camées de Tiepolo ou les perles de Vermeer et de Rembrandt m’ont permis de garder l’enthousiasme du coup de foudre ressenti devant Le Caravage. Ainsi, pendant toute la rédaction de cet ouvrage, j’ai voulu converser avec ces génies afin de comprendre leur suprême intelligence, leur sensualité, leur humour et leurs amours obsessionnelles. Les joies impérissables qu’ils m’ont données furent su grandes qu’elles devaient obligatoirement être partagées. Je souhaite que la lecture de ce livre soit « thérapie » esthétique qui exerce une contagion curative : celle du bonheur qu’engendre la beauté.

Roma, Romana Società Editrcie 1984, cm.17x24,5 pp.125, illustrazioni in bianco e nero e a colori, brossura con bandelle e copertina figurata a colori.