Il manuale del perfetto genitore.

Testo latino e francese. A cura di Weill-Parot N. Firenze, Sismel- Edizioni del Galluzzo 2008, cm.14x22, pp.304, brossura copertina figurata a colori. Coll.Micrologus' library,23. De retour à Valence, dans son pays natal, après avoir été formé dans les universités italiennes du Quattrocento puis avoir servi la reine Jeanne de Naples, le médecin Jérôme Torrella achève en 1496 la rédaction de l'Opus praeclarum de imaginibus astrologicis qu'il dédie au roi Ferdinand le Catholique. Il entend y rassembler les arguments qui ont été formulés par les autorités sur un type de talisman bien particulier, les "images astrologiques". Au milieu du XIIIe siècle, l'auteur du Speculum astronomiae les avait définies comme des talismans "seulement astrologiques" et dépourvus de tout signe ou rituel à l'adresse d'une intelligence supérieure (nécessairement démoniaque). Les "images astrologiques" tirent-elles leur efficacité, comme tout talisman, de l'aide des démons, ainsi que le pensent les "Thomistes"? Ou sont-elles vraiment des talismans purement astrologiques et donc naturalistes, comme le soutiennent ceux que Torrella appelle les "Albertistes"? De la possibilité scientifique de tels talismans dépend leur caractère licite. Un médecin peut-il prescrire le sceau du Lion en or contre le calcul rénal? L'ouvrage de Torrella apporte un témoignage très fourni sur un débat qui plonge ses racines dans la philosophie naturelle, la médecine, l'astrologie et la théologie autour de la possibilité d'une magie astrale "naturelle". Structuré suivant les règles de la tradition scolastique, mais influencé également par les apports du Quattrocento (Marsile Ficin, en particulier), l'Opus praeclarum de imaginibus astrologicis prend place entre l'Italie humaniste et l'Espagne des Rois Catholiques, et à la croisée des chemins entre le Moyen Âge et la Renaissance.

Traduz.di Laura Grimaldi. Milano, CDE su licenza Arnoldo Mondadori 1997, cm.14,5x22,5, pp.646, legatura editoriale cartonata. 1995: la moglie del senatore Eddgar viene uccisa e suo figlio è accusato del delitto. Il caso finisce nell'aula di Sonia Klonsky, che conosce gli Eddgar dai tempi della contestazione, alla fine degli anni Settanta. Sfila così in tribunale un gruppo di amici che condividono quel passato, segnati dall'attivismo di quegli anni e da segreti che daranno al caso un imprevedibile sviluppo. Un processo il cui oggetto sono le relazioni familiari e i rapporti fra generazioni, in un romanzo caratterizzato da un senso profondo del passaggio del tempo.