Il Patrimonio dell'Umanità. I Complessi Monumentali.

Milano, Leonardo Arte 2000, cm.15x20,5, pp.126 nn. num.ill.e tavv.a col.nt. legatura ed.cartonata, cop.fig.a col.

Parma, Alain Sebe Editeur 1989, cm.32x33, pp.208 di tavole a col.nt. Cartonné/Relié. Collection Tagoulmoust. Un bel éventail de la richesse du Sahara : photographies superbes, souvent en pleine page, prises d'avion hormis celles des habitants. Commenté et étayé de cartes, la qualité de cet ouvrage, de grand format carré, est de qualité : couverture cartonnée et coffret pleine toile. Pour qui ne peut se déplacer à la découverte des contrées lointaines de notre planète, à plus forte raison lorsqu'elles sont dépeuplées et les conditions climatiques sévères, certains livres compensent une partie du voyage. Cet ouvrage est de ceux-là : on sent l'engouement du photographe en feuilletant ses souvenirs qui, page après page, reviennent par l'ampleur des images et la passion de l'auteur qui en a sillonné les moindres recoins. L'Iconographie: Ces images prises d'avion rendent compte de la diversité du Sahara algérien, région après région : Souf, Grand Erg Occidental, Hoggar, Tassili, en passant par les pistes entre oueds et oasis… Ainsi chaque chapitre couvre-t-il un paysage de sables et roches différentes, avec parfois palmeraies artificielles et habitations humaines. Comme le dit Alain Sèbe, la description de ces horizons ensablés à perte de vue s'accommode mieux du vocabulaire marin : mers de sable, vagues, vents… En particulier, le livre illustre quantité de formations géologiques innominées perdues aux confins de ce désert, mais connues des voyageurs et des habitants… Plusieurs volcans éteints émergent ainsi de la surface, ailleurs fendue par de superbes pics et crêtes rocheuses qui serpentent entre les dunes. Le grand format du livre permet d'ailleurs des reproductions en pleine page, parfois panoramiques. Enfin, le désert, depuis longtemps habité, abrite une population que le photographe n'a pas oubliée. Il l'a restituée dans plusieurs prises en noir et blanc, saisies sur l'instant et dans leurs habitats, ou villes selon le cas, comme Ghardaïa dont l'urbanisme aggloméré et les ruelles étroites ne sont pas sans rappeler les vues d'avion de certaines bourgades de Toscane. Le Texte: Les photographies sont commentées, et l'auteur n'a pas hésité à rappeler l'histoire de certains peuplements en plein désert, leurs us et coutumes, ainsi que la genèse de certaines formations géologiques. On apprend ainsi que l'Ajjer, tout au sud, recèle une bonne centaine d'arbres méditerranéens originels, datant d'une époque reculée où le climat était plus favorable : ils font preuve d'une longévité exceptionnelle, entre quatre et cinq mille ans… Des cartes étayent l'exposé encore que, malgré l'évident effort qui a été fourni pour leur réalisation, leur graphisme ne soit pas toujours clair au premier abord. Nonobstant, elles orientent le lecteur dans l'immensité saharienne, où il se perd volontiers dans les paysages, ou rien que dans la richesse des toponymes et du vocabulaire local : bahri, ghouts, ardhs, louz, zerb, chebka, djerids, tercha… autant d'invitations au voyage…

A cura di Sergio Bozzola e Chiara de Caprio. Roma, Salerno Editrice 2020, cm.17x24, pp.150, brossura copertina figurata a colori. Collana Forme e Stili del Testo.,1. Dedicato ad autori dal Medioevo al Rinascimento, il ricco volume di saggi di Pier Vincenzo Mengaldo propone, a studiosi e lettori di oggi, alcuni dei suoi lavori ormai non più reperibili sul mercato editoriale. L'immagine dello studioso novecentesco, interprete di nodi cruciali della critica, della poesia e della prosa contemporanee, viene qui integrata da contributi che ne hanno egualmente contrassegnato la biografia intellettuale: dai saggi su Dante ai lavori sulla poesia di Boiardo e Sannazaro, riferimenti tuttora imprescindibili dell'interpretazione stilistica dei due poeti quattrocenteschi. Vi si aggiungono scritti più recenti, nei quali il critico misura le implicazioni stilistiche della poesia di Arnaut Daniel resa in italiano, ritorna sull'opera di Boiardo per interpretare aspetti specifici dell'Inamora-mento de Orlando o indaga la prosa mirabile e tragica della Storia d'Italia di Guicciardini. Il volume è corredato da un'Introduzione di Matteo Palumbo: vi è esaminato il metodo di lavoro di Mengaldo in una prospettiva che è insieme quella dello studioso e del sodale. Nel complesso, attraverso saggi a tutt'oggi centrali nel dibattito critico, viene offerto un compatto campione di un metodo qui esemplarmente praticato da un maestro del Novecento. Introduzione di Matteo Palumbo.

Milano, Edizioni San Paolo 2012, cm.12x18, pp.137, brossura con bandelle e copertina figurata a colori. Coll. BUC- Biblioteca Universale Cristiana Molteplici sono le icone mariane che hanno affollato i secoli; tutte, però, risalgono alle icone, non "dipinte" ma "descritte", distribuite nelle pagine bibliche. Il volume ne riprende trentuno, tante quanti sono i giorni di un mese. Nei primi quadri il lettore è introdotto alla scuola dei Padri, della liturgia, della devozione popolare e colta, che per secoli ha intravisto nei volti femminili dell'Antico Testamento i tratti "anticipati" della Madre del Signore. Alla base di quest'operazione cosiddetta "allegorica" c'è da sempre una profonda intuizione: le Scritture ebraiche e quelle cristiane, l'Antico e il Nuovo Testamento sono in intima connessione, la Parola del Cristo è in continuità piena e gloriosa con la Parola di Yhwh. Le icone successive sono le più dirette e somiglianti perché nelle pagine neotestamentarie è Maria stessa ad essere di scena, con contorni e fisionomia precisi.