Masterworks of industrial photography. Exhibitions 2013-2014. Mast foundation. Capolavori della fotografia industriale , Mostre2013-2014.

Traduz.di Gaia Panfili. Roma, Donzelli Editore 2008, cm.12x18,5, pp.126, brossura, cop.fig.a col.con bandelle. Stato di nuovo. Coll.Saggine,114. (Simón Bolivar e José Marti, Tina Modotti e Che Guevara: a cinquant'anni dalla rivoluzione cubana, il pantheon degli eroi rivoluzionari dell'America Latina occupa ancor oggi le menti e i cuori di tutti coloro che patteggiano per l'emancipazione. Sentimento contraddittorio, giacché mai come in questo momento le retoriche della rivoluzione hanno conosciuto un così cattivo corso. Ed è la dura realtà a mostrare impietosamente gli esiti meschini cui sono soggette le imprese che si erano presentate come più fulgide. Accade così che il cinquantesimo anniversario della rivoluzione castrista segni il punto più cupo e incerto della parabola di un potere che assume ogni giorno di più i connotati oppressivi del regime. Si può spiegare questo "cattivo destino" delle rivoluzioni americane, questa condanna che ha pesato su ogni pulsione libertaria, in quella parte di mondo, per un paio di secoli? O almeno, si può raccontare? I racconti che compongono questo libro sono davvero speciali. Il filo che li unisce è costituito da un comune terreno di ricognizione: la storia rivoluzionaria dell'America Latina contemporanea, che è al tempo stesso la storia di slanci e di fallimenti, di genuine spinte democratiche e di nefande degenerazioni).

Traduzione di Luciano Gallina. Roma, Biblioteca del Vascello 1994, cm.14,5x20,5, pp.226, brossura copertina figurata. Coll.Viaggi, 30.

Firenze, Editrice Cooperativa Firenze 2000 1989, cm.19x19, pp.77, con foto a colori. Brossura copertina figurata a colori.

Paris, François Maspero 1971, cm.14x22, pp.465, brossura con bandelle, cop.fig. Coll.Bibliotheque Socialiste,19. Testo in francese. C'est avec une mission officielle très confidentielle que le capitaine Jacques Sadoul part en 1916 en Russie tsariste : Albert Thomas, ministre socialiste dans le cabinet de Clemenceau, veut avoir des renseignements de première main sur les événements politiques qui agitent le pays « allié ». Arrivé le 1er octobre 1917 à Pétrograd et rattaché, avec son grade, à la mission militaire française en Russie, Jacques Sadoul commence, avec Albert Thomas, une correspondance précise et passionnante, qui demeure - plus de cinquante ans après avoir été écrite - l'un des plus importants documents sur la Révolution russe édité en France. Poursuivie jusqu'en janvier 1919, cette correspondance décrit les événements capitaux, rapporte les attitudes, les comportements, les décisions des hommes de la Révolution. Jacques Sadoul est à l'Institut Smolny, le soir du 7 novembre ; il y rencontre, le 8, les responsables bolcheviques, fait connaissance avec Lénine, avec Trotsky. D'abord témoin, très extérieur, d'un bouleversement aux répercussions mondiales, il sympathise de plus en plus avec les révolutionnaires. Les notes sur la révolution bolchevique s'arrêtent à la date du 17 janvier 1919. Leur auteur n'en poursuit pas moins son action. Il adhère au communisme, prend part à la guerre civile, en tant qu'instructeur de l'Armée rouge, accomplit différentes missions en Italie et en Allemagne. En France, ce livre publié en 1919, a fait quelque bruit. Clemenceau veut faire inculper son auteur. Le Parti socialiste présente Jacques Sadoul comme tête de liste aux élections de novembre 1919, dans la deuxième circonscription de Paris. Mais le Conseil de guerre le juge, le 2 novembre, pour désertion et intelligence avec l'ennemi, et le condamne à mort par contumace (ce qui, naturellement, le rend inéligible). Après un second procès, en 1925, il sera acquitté et reprendra son métier d'avocat et sa vie de militant communiste, jusqu'à sa mort en 1956. Cette édition des « Notes sur la révolution bolchevique » est la première à reprendre intégralement le texte de 1919.