Popoli arte devozione.

Trad dal tedesco di Aloisio Rendi. Milano, Feltrinelli Ed. 1985, cm.12,5x19,5, pp.176, brossura cop.fig.a col. Coll.Impronte.

Saint Didier de Champey, Editions Quatuor 2007, 2 volumi. cm.24x33, pp.473,213, 300+150 tavv.a col.ft.+12 nn. legature editoriali in piena pelle, placchette a col.applicate ai piatti ant.,in cofanetto con piatto ant.fig.a col. Cette Oeuvre unique de près de 450 planches couleurs et de 300 pages de texte uniformologique, n'a eu qu'une seule édition, en 1848, et s'est récemment vendue 14000€ chez un antiquaire. Les peintures mettent en lumière des scènes où sont magnifiées les couleurs. Aucun détail d'armes, de costumes et d'équipement, n'a été peint sans l'appui de toutes les sources fiables possibles, Archives de la Guerre, textes contemporains, etc... C'est une oeuvre d'art et une source de documentation irremplaçable. Deux tomes de grand format 23,5 x 32,5, soit en format ouvert 47 x 32,5 de 730 pages en tout, le tome I étant consacré à l'Ancien Régime (environ 470 pages), et le tome II à la Révolution, le Consulat et l'Empire (environ 260 pages). * Coffret de fort grammage, tout en couleur et pelliculé. * 730 pages sur beau papier 150 grammes couché semi mat. * Tirage strictement limité à 550 exemplaires en pleine soie d'Orient et 50 exemplaires en plein cuir rouge pompéi. * Gardes vergé, tranche fil, signets, étiquettes couleurs dans gaufrage sur le plat, numérotation manuelle à l'unité de 1 à 50 pour l'édition plein cuir, et de 51 à 600 pour l'édition en soie d'Orient. * Numérotation manuelle à l'unité - XVème siècle : 11 planches - XVIème siècle : 39 planches - XVIIème siècle : 60 planches - XVIIIème siècle : 190 planches - Révolution : 50 planches - Consulat : 10 planches - Premier Empire : 90 planches

A cura di Roberto Alonge. Milano, Mondadori 1974, cm.11x18,5, pp.LXXII-164, brossura copertina figurata a colori. Coll.Oscar,222.

Roma, Salerno 2020, cm.15x21, pp.232, brossura copertina figurata a colori. Coll.Piccoli Saggi. E se Alessandro fosse arrivato a Cartagine? Se i Macedoni avessero oltrepassato il canale d’Otranto e, con Annibale, un secolo dopo, si fossero diretti verso Roma? La storia non si fa con i “se”, eppure è concretamente esistita la possibilità che Alessandro avanzasse contro Cartagine prima di dirigersi a Oriente. Lo dimostra in questo libro Lorenzo Braccesi, tra i massimi storici dell’antichità. L’autore indaga l’espansione macedone con una nuova chiave di lettura: quella di un circolare progetto di conquista, che viene qui inteso come il sogno di Filippo di allargarsi allo spazio mediterraneo. Tale padre, tale figlio dunque. Le gesta dei Macedoni – indomabile popolo di stirpe greca, originario di un piccolo territorio periferico dell’area balcanica – vengono intese come un’unica grandiosa impresa durata due secoli. Dalla Macedonia comincia dunque la conquista del mondo, che avrebbe dovuto cingere sotto un unico dominio i Balcani e, attraverso il controllo dei canali adriatici ed ellespontici, l’Asia, l’Europa e Cartagine. Il grande sogno nasce con Filippo, sarebbe diventato il bivio di Alessandro e dei suoi successori.