Glorieux Cavaliers de Napoléon. Une collection exclusive de soldats de plomb. Volume 1.

Brigadier du 3e Dragons; L'ex-Bourbon-Dragons. Chevau-léger porte-étendard du 2e régiment (Cie d'élite); La Russie, l'Allemagne, la France et Waterloo. Officier de l'artillerie à cheval de la Ligne en grande tenue; Des artilleurs vetus "à la hussarde". Cuirassier du 7e régiment; Le 7eCuirassiers, l'ancien Royal-Etranger. Trompette des Mamelouks; Les Mamelouks, des cavaliers de légende. Officier du 1er Hussards; Bercheny-Hussards, le 1er du rang. Officier de gendarmeried'élite de la Garde; "Inquisitorial et soupconneux...". Maréchal des logis du 26e régiment de dragons; La glorie de l'ancien Berry-Cavalerie. Trompette des grenadiers à cheval de la Garde; Bonnet noir ou blanc bonnet? Paris, Editions Atlas 2002, cm.22x29, pp.143, ill.col. Relié.

d'Essing..... Paris, Editions Atlas 2001, cm.22x29, pp.143, ill.col. Relié.

trompettes au colback blanc. Mamelouk. Les "Turcs"de Napoléon. Cuirassier du 5° régiment porte-aigle (vers 1805-1810. Les "gros talons", l'un des surnoms des cuirassiers. Trompette du 2° régiment des Gardes d'honneur en grande tenue. Les fils de l'élite sociale de l'Empire. Carabinier du 1er régiment. "Toujours au chemin de l'honneur". Dragon du 20° régiment (compagnie du centre). "Un bon dragon doit etre un franc démon, sans foy, ni loy". Hussard du 3° régiment porte-aigle (compagnie d'élite). "Il en vaut plus d'un!". Trompette des lanciers polonais en grande tenue. Cramoisi et argent. Paris, Editions Atlas 2001, cm.22x29, pp.143, ill.col. Relié.

logis des lanciers rouges (grand tenue); Les "écrevisses" de Colbert. Hussard du 2e régiment; "Noblesse oblige, Chamborant autant". Officier porte-aigle des Mamelouks; Aigle, guidon ou étendard?. Cuirassier du 1er régiment; Le régiment d'Hautpoul et de Saint-Sulpice. Maréchalk des logis chef du 4e Chevau-légers lanciers, de Borodino à Waterloo. Officier de l'artillerie à cheval de la Ligne (1812); "Du canon! Du canon! Il faut du canon!". Colonel du 1er Carabiniers; Rogé, le colonel du 1er Carabiniers à Waterloo. Paris, Editions Atlas 2001, cm.22x29, pp.143, ill.col. Relié.

Firenze, Ediz.Polistampa 2009, cm.17x24, pp.128, ill.a col. brossura copertina figurata a colori. Coll.I Maestri della Luce in Toscana. Monografie d'Arte dell'800 e del '900, 12. Dalle sale dell’Accademia di Belle Arti di Pisa e quindi di Firenze, fino al Salon di Parigi del 1875 e del 1878, Francesco Gioli arricchisce l’originaria matrice purista con gli aneliti del naturalismo europeo e dell’impressionismo. Costantemente critico nei riguardidi qualsiasi novità tecnica l’artista segue un proprio personale e moderato percorso di aggiornamento stilistico che lo conduce sullo scorcio dell’Ottocento alle soglie del divisionismo e del simbolismo. Nel corso del Novecento, lungi dal ristagnare nell’orbita del macchiaiolismo, Gioli saprà farsi interprete di un rinnovato linguaggio di eleganza disegnativa e grazia cromatica, con cui affrontare le consuete tematiche della figura e del paesaggio, stavolta nell’ottica di una più vibrante poesia.