I Poggenpuhl.

A cura di Elisabetta Cimmino. Milano, Lucarini Ed. 1989, cm.15x22,5, pp.233, legatura ed. sopracop.fig.a col. Coll.Il Labirinto,19.

Traduz.di Carlo De Sinner. Roma, Editori Riuniti 1961, cm.11,5x18, pp.312, brossura cop.fig.a col. Coll.I Narratori del Realismo,29.

München, Droemersche Verlagsanstalt 1953, cm.12,5x19,2, pp.277,(3), legatura ed. in tutta tela celeste, titoli in oro al piatto ant. e al dorso. (Dorso un po' ingiallito.)

Traduzione di Erich linder. Milano, Garzanti 1978, cm.14x21, pp.269, brossura copertina figurata a colori. Coll. I Grandi Libri.

Con il commento di E.Bianchi. Firenze, Le Monnier 1962, cm.14,5x20,5, pp.1036, una tav.bn.nt. legatura ed.in tutta tela.

A cura di Paolo Boschini. Pisa, Ediz.ETS 2003, cm.12,5x19, pp.132, brossura Coll.Tracce,20. Harnack (1851-1930) fu un intellettuale che partecipò consapevolmente alle vicende del suo tempo, mettendo in campo le sue competenze specialistiche di storico del cristianesimo, ma anche la propria personale adesione al modello religioso di Lutero. Gli elementi essenziali della Riforma, che Harnack si sforzò di applicare a tutti i campi dell’esistenza umana, furono l’affermazione del primato dell’individuo e della sua libertà di ricerca e di azione, la creazione di una comunità spirituale dotata di forte senso etico e religioso, l’opzione prioritaria per il sociale. I due saggi (1894 e 1896) qui tradotti testimoniano il suo sforzo di riflessione teorica sulla relazione che lega il cristianesimo all’accadere storico e alle dinamiche sociali del mondo moderno.

Neuilly-sur-Seine, Michel Lafon 2001, cm.15x23,5, pp.435,(5), 77 foto in 28 tavv.in bn.ft., brossura, cop.fig. a colori. " Je ne monte pas de grands spectacles pour faire du tintamarre, mais pour qu'en chacun de nous résonne l'espérance. " Il a toujours couru après cette espérance... Petit garçon fuyant la pauvreté de ses parents et la solitude des pensionnats, il se faufilait dans les cinémas, les théâtres, afin de retrouver la " vraie vie ", celle de l'imaginaire. Il a hanté Saint-Germain-des-Prés, joué Les Voyous à la ville comme à la scène, triomphé en Geoffroy de Peyrac, aimé les plus belles femmes, et soudain tout quitté : " Je me suis dit que je tournais le dos à mon âme. " Et ce furent Reims d'abord, puis les grandes salles capables d'accueillir son théâtre populaire, sans lequel, peut-être, des millions de spectateurs n'auraient jamais connu de ces émotions salvatrices qui libèrent le cœur des hommes. Car plus que Dieu, l'humanité l'inspire. Elle anime cette trajectoire unique, faite de misère et de succès, d'expédients et de générosité, où l'on croise les talents les plus divers, Genet, Sartre, Sergio Leone, Roger Vadim, Jean-Paul Belmondo, Marina Vlady, Adjani la grande, Candice son ange gardien depuis vingt-cinq ans, et Frédéric Dard, l'ami incomparable. Parmi d'autres... "La Nostalgie" : une confession d'une grandiose humilité, où l'on découvre un Robert Hossein inconnu, et un visionnaire inspiré qui réveille en chacun de nous des enthousiasmes d'enfant.

Paris, Hachette 2003, cm.24x29,5, pp.192, ill.col. Relié. Installés à Montpellier, dans le Languedoc, les jumeaux Pourcel sont devenus un quelques années deux des meilleurs ambassadeurs de la gastronomie française. Ce savoir-faire a été légitimement consacré par l'attribution de la récompense suprême :les trois étoiles Michelin. Jacques et Laurent nous convie aujourd'hui à goûter les recettes de La Compagnie des Comptoirs, restaurants qu'ils dirigent et qui ont naturellement pris racine au sud. Cette cuisine fait revivre les comptoirs du 1'Orient qui sentaient bon la mandarine, le safran, la vanille, le poivre, la banane. Leurs recettes mêlent les saveurs des Mille et une Nuits, des Indes, de la Méditerranée et de grand Sud. Sans nous déplacer, ce voyage nous conduit vers des rivages lointains.