La passion du point de croix et du crochet.

PAris, Editions Atlas 2005, cm.23x29, pp.348, ill.col. reliè. Le jazz est né du blues rural, que l'on jouait dans le delta du Mississipi ou dans les clubs de Memphis, du ragtime de Scott Joplin et d'Eubie Blake et de divers autres courants. Il a annoncé sa formidable entreprise de séduction auprès du public américain dès les années 1910. Après les pionniers que furent Jelly Roll Morton, Fletcher Henderson, Bix Beiderbecke, Sydney Bechet, la fin des années vingt voit une nouvelle génération de musiciens. Elle donne naissance au "middle jazz", terme assez large englobant les styles qui succédèrent à ceux de la Nouvelle-Orléans et de Chicago. Cette définition s'applique idéalement à des créateurs comme Louis Armstrong, Duke Ellington et Count Basie ou encore à une voix comme celle d'Ella Fitzgerald. Cette ère classique voit triompher les grands instrumentistes qui, jusqu'alors, voyaient leur rôle subordonné aux besoins de l'orchestre. Outre Louis Armstrong et Lester Young, elle fut profondément marquée par la personnalité de Coleman Hawkins, dont l' uvre influencera plusieurs générations de saxophonistes, et par celle d'Art Tatum. Et comment également ne pas citer Lionel Hampton, Gene Krupa ou le merveilleux Django Reinhardt ? Au tout début des années quarante, le jazz connaît la plus formidable de ses révolutions. Charlie Parker, Dizzy Gillepsie, Thelonious Monk, Bud Powell, Charles Mingus. À l'exception de Stan Getz et d'Art Pepper, (et de quelques autres) ils appartiennent à la communauté noire. Ils se sentent investis d'une mission "sérieuse". C'est-à-dire une musique qui ne se danse plus mais qui s'écoute ! Abondamment illustré et documenté, cet ouvrage rend bien sûr hommage aux plus grands musiciens de jazz, mais au-delà de l'indispensable histoire de leur vie, jalonnée d'anecdotes tout à tour tragiques, cocasses et insolites L'Atlas du jazz aide à mieux comprendre la personnalité, parfois complexe, de ces artistes hors du commun, et, surtout, ce qu'ils ont tous sans exception apporté à la musique du XXe siècle.

Paris, Editions Atlas 2006, cm.23,5x28,5, pp.180, ill.col. brochure. Coll.Atlas Pratique. De nombreuses femmes brodent au point de croix depuis des siècles et les modèles, modernes ou anciens, font toujours leur bonheur. Cet Atlas pratique du point de croix réunit 25 leçons et 82 modèles d'ouvrages complets avec leurs grilles : abécédaires, coussins, tableaux, galons, rideaux, serviettes, maniques, embrasses ou torchons, rien de manque. Chaque travail y est expliqué et commenté. Une grille avec ses couleurs est fournie et permet à tous de réaliser le modèle sans se tromper. Alors, à vos aiguilles pour de magnifiques ouvrages à garder ou à offrir !

Split,26-30/9/1978 . A cura di A.G.Matanic. Padova, Ed.Antenore 1982, cm.17,5x25, pp.XXVIII-572, brossura a fogli chiusi. Coll.Medioevo e Umanesimo,49.

In appendice viene ristampato al completo il volumetto da cui poi il Panzini trasse il Diario sentimentale ossia Il romanzo della guerra nel 1914, perché nel "Romanzo" vi sono pagine importanti che il Panzini non riportò nel "Diario". Prefazione di Giorgio Barberi Squarotti. Bologna, FirenzeLibri Editore 1995, cm.15,5x21,5, pp.XIV,358, brossura copertina figurata. Coll.I Libri di Massimiliano Boni. Scrittori Italiani Moderni,11. Dei molti libri che scrisse, probabilmente questo è uno dei più belli di Alfredo Panzini. Il libro non descrive, come quasi tutti i libri che nacquero da questa guer-ra, la vita del fronte, con le sue vittorie o le sue sconfitte, ma piuttosto la guerra come vista e sentita nel paese, sia quando si stava preparando sia dopo che l'Italia fu entrata in guerra. Il libro pertanto è una testimonianza preziosa su quegli anni. Ma il libro si raccomanda anche come libro di poesia che nasce dagli stati d'animo dello scrittore stesso ma anche dalle molte figure, ignote o celebri, che il Panzini descrive, spesso, in modo magistrale. Memorabili sono le pagine che egli dedica a Renato Serra, vivo e morto. Ma vi sono anche riusciti ritratti di Clemente Rebora, di Marino Moretti, di Mario Missiroli e di altri. Nel libro vi sono anche alcuni bellissimi paesaggi e bellissimi perché non "estranei" ma visti e creati at-traverso l'animo spesso inquieto, e più di una volta angosciato, dell'autore. In appendice viene ristampato al completo il volumetto da cui poi il Panzini trasse il Diario sentimentale ossia Il romanzo della guerra nel 1914, perché nel "Romanzo" vi sono pagine importanti che il Panzini non riportò nel "Diario".

Bari, De Donato Editore 1969, cm.11x18, pp.304, brossura cop.fig. a col. Coll.Atti,17.

Prefazione di Arturo Colombi. Milano, SEDIT 1970, cm.18x25, pp.350, legatura editoriale copertina in simil pelle rossa con titoli in oro al dorso. Collana I Reprint del Calendario,4.