La vie au temps des pharaons.

Traduz.italiana di Mario Rossi. Milano, Rizzoli Ed. 1962, cm.24x31, pp.429, centinaia di ill.e tavv.bn.e col.nt. legatura ed.in tutta tela, sopracop.fig.a col.

Traduz.di Berto Renna. Milano, Ediz.Il Saggiatore 1996, cm.15x21, pp.322, 32 tavv.bn.ft.e 6 carte geografiche. brossura Coll.Uomo e Mito,31.

Trad.di Giorgio Monicelli. Milano, Martello 1956, cm.15,5x23, pp.304, 71 figg.bn.in tavv.ft. legatura ed.in mz.telam, sopraccoperta fig.a col.

Traduz.di Berto Renna. Milano, Il Saggiatore Ed. 1969, cm.15x21, pp.322, 32 figg.bn.e 6 carte geografiche. legatura ed. sopraccop.fig. Coll.Uomo e Mito,31.

A cura di R.Toman. Fotogr.di A.Bednorz. Koln, Koenemann 1999, cm.27,5x32, pp.503, centinaia di figg.a col.nt. legatura editoriale sopraccoperta figurata a colori.

Photos de Gerhard Reinhold. Traduit de l'allemand par Arlette Marinie. Leipzig, Edition Leipzig 1968, cm.24x32, pp.119, 14 figg.in bn. applic.nt. e 143 tavv.a col.e in bn.ft., legatura ed.in tutta tela. Piccola striscia di ruggine al margine del piatto ant., altrimenti eccellente esempl. Das Grünes Gewölbe (« la Voûte verte ») est un «musée trésor» unique en Europe. Il est maintenant situé dans le Château de la Résidence de Dresde en Saxe (Allemagne) et fait partie des Collections Nationales de Dresde. La Voûte verte doit son existence à Auguste le Fort, qui joignit à sa collection d’objets précieux et de joyaux des œuvres d’art héritées datant de la Renaissance et du baroque. Ce sont des merveilles de l’orfèvrerie, des parures de pierres précieuses, des chefs-d’œuvre faits d’ambre et d’ivoire, des récipients faits de pierres précieuses et des statuettes de bronze ingénieuses. Mais surtout, les œuvres des artistes de la cour - Permoser et Dinglinger - font de la Grünes Gewölbe une collection d’art inégalée.

Storia e fortuna delle pale d'altare a rilievo nella Roma di Bernini. Firenze, Olschki Ed. 2017, cm 17 x 24, xx-292 pp. con 95 figg. n.t., brossura Biblioteca dell''«Archivum Romanicum». Serie I: Storia, Letteratura, Paleografia,470. Il libro ricostruisce il dibattito critico del Seicento sul tema della pala a rilievo, con particolare riferimento alla rivalità tra Gian Lorenzo Bernini e Alessandro Algardi. Bernini maturò presto un’avversione al genere del rilievo, rifacendosi al modello di Michelangelo e seguendo le orme del padre, Pietro, che pur realizzando la prima pala a rilievo moderna, l’Assunzione della Vergine di Santa Maria Maggiore, nella sua tarda maturità prese le distanze da quel genere. Gian Lorenzo si formò in un momento in cui il dibattito sul tema del rilievo, stimolato proprio dalla pala di Bernini senior, era di grande attualità. Il clamore suscitato dal Leone e Attila di Algardi in San Pietro avrebbe radicalizzato la posizione di Gian Lorenzo, e alcune opere chiave di Bernini, dalla Santa Teresa della Cappella Cornaro fino alla Cattedra e al Costantino in San Pietro furono pensate prima di tutto in chiave anti-algardiana. Ricostruire la fortuna delle pale scolpite significa così ricostruire la storia dei contrasti personali fra alcune personalità chiave del Seicento romano, avendo quasi come unità di luogo d’azione la basilica di San Pietro.

Paris, François Maspero 1971, cm.14x22, pp.465, brossura con bandelle, cop.fig. Coll.Bibliotheque Socialiste,19. Testo in francese. C'est avec une mission officielle très confidentielle que le capitaine Jacques Sadoul part en 1916 en Russie tsariste : Albert Thomas, ministre socialiste dans le cabinet de Clemenceau, veut avoir des renseignements de première main sur les événements politiques qui agitent le pays « allié ». Arrivé le 1er octobre 1917 à Pétrograd et rattaché, avec son grade, à la mission militaire française en Russie, Jacques Sadoul commence, avec Albert Thomas, une correspondance précise et passionnante, qui demeure - plus de cinquante ans après avoir été écrite - l'un des plus importants documents sur la Révolution russe édité en France. Poursuivie jusqu'en janvier 1919, cette correspondance décrit les événements capitaux, rapporte les attitudes, les comportements, les décisions des hommes de la Révolution. Jacques Sadoul est à l'Institut Smolny, le soir du 7 novembre ; il y rencontre, le 8, les responsables bolcheviques, fait connaissance avec Lénine, avec Trotsky. D'abord témoin, très extérieur, d'un bouleversement aux répercussions mondiales, il sympathise de plus en plus avec les révolutionnaires. Les notes sur la révolution bolchevique s'arrêtent à la date du 17 janvier 1919. Leur auteur n'en poursuit pas moins son action. Il adhère au communisme, prend part à la guerre civile, en tant qu'instructeur de l'Armée rouge, accomplit différentes missions en Italie et en Allemagne. En France, ce livre publié en 1919, a fait quelque bruit. Clemenceau veut faire inculper son auteur. Le Parti socialiste présente Jacques Sadoul comme tête de liste aux élections de novembre 1919, dans la deuxième circonscription de Paris. Mais le Conseil de guerre le juge, le 2 novembre, pour désertion et intelligence avec l'ennemi, et le condamne à mort par contumace (ce qui, naturellement, le rend inéligible). Après un second procès, en 1925, il sera acquitté et reprendra son métier d'avocat et sa vie de militant communiste, jusqu'à sa mort en 1956. Cette édition des « Notes sur la révolution bolchevique » est la première à reprendre intégralement le texte de 1919.