Progetto cultura. Rimini. L'immagine dell'identità.

Paris, Editions Ides et Calendes 1986, cm.24,5x26, pp.128, 108 figg.bn.e a col.nt. legatura ed.soprac.fig.a col. Coll.Mouvements de l'art. Jean-François Bory et Jacques Donguy ont participé activement à l'art de ces trentes dernières années et présentent ici, les diverses tendances qui se sont parfois opposées et parfois liées dans l'art d'aujourd'hui, l'art des dernières avant-gardes. Ecriture et art plastique «Art and language», art conceptuel. La peinture ou «le visage de Narcisse», la photographie depuis Nadar. 1963-1964 la fin de la guerre d'Algérie, le phénomène des revues: Robho, l'Art Vivant, VH 101. Les écritures matérielles, concrètes, le Musée imaginaire à la Malraux à travers les livres d'art. L'art qui fonctionne au travers ces constats, la vidéo, la photographie aussi bien que la performance, l'art corporel ou le «Land-Art». Panorama des revues internationales: «Assembling» de Kostelanetz aux Etats-Unis, «Vou» au Japon. L'art sociologique ou l'art qui fonctionne comme coupe-circuit à l'information. L'art comme «récit privé», les aventures de l'art. Les auteurs ont étudié les différents courants actuels, le phénomène des sponsors intellectuels, les groupes tels «Fluxus», «Les Nouveaux Réalistes», l'art du côté de l'utopie, l'art comme attitude ou l'art comme tautologie. Le rôle des grandes expositions, Documenta à Cassel, la Biennale de Venise. Le rôle des catalogues de ces expositions, la façon dont l'art circule et l'inflation de la documentation des dossiers des photographies. Peut-être la-notion de trésors de guerre, «Kriegschatz». Jean-François Bory et Jacques Donguy dissertent sur le rapport de l'art avec la science, la recherche des cautions possibles. Le fonctionnement par concept, celui de «Image Bank» ou de «Fête Permanente». Toutes les personnalités de «ces vingt dernières secondes de l'art», Joseph Beuys, Georges Brecht, Raymond Hains et les autres à la recherche du rôle de l'artiste, du poète qui, peut-être, «est de montrer où se trouve l'être et non pas de pousser à l'aliénation.»

Novara, Ist. Geografico De Agostini 2002, cm.23x30, pp.80, num.figg.a col.nt. legatura editoriale, copertina figurata a colori. Coll.Atlanti della Terra.

Traduzione di Alessandro Beltrami. Milano, Medusa Edizioni 2016, cm.12x15, pp.86, brossura con bandelle. Collana Le Api,24. I musei spettacolari di oggi sono le cattedrali del nostro tempo? Il dibattito a distanza fra l'architetto e critico Charles Jencks e lo scrittore e polemista Tom Wolfe spiega perché il museo nasce in età illuminista proprio come sostituto della cattedrale. In Francia durante la Rivoluzione si insiste sulla necessità di creare spazi dove conservare le opere tolte dai "luoghi tenebrosi" nei quali erano state tenute, per restituirle al popolo in una specie di biblioteca dove andare a istruirsi. Jacques-Louis David insiste che il neonato museo del Louvre debba costituire una scuola dove "i maestri condurranno gli allievi, il padre vi accompagnerà il figlio. II giovane vedendo le produzioni del genio, sentirà nascere in lui quel germe d'arte o di scienza al quale la natura lo chiama". La natura, non Dio. I musei sono dunque istituzioni laiche che nascono come negazione del sacro, nascono dunque come templi della capacità umana, dove Cristo è sostituito con Prometeo. Una nuova religione secolarizzata di cui le opere sono le reliquie e i testi sacri. Se per Wolfe i sacerdoti sono i critici, Jencks recupera le teorie di Saint-Simon secondo cui gli artisti sono chiamati a "esercitare un'influenza positiva sulla società, una vera funzione sacerdotale".

Roma, Biblioteca di Repubblica - L'Espresso 2014, cm.13x20, pp.283, brossura, copertina figurata a colori, con bandelle. Collana Giro del Mondo in Noir,14.