Mastro Don Gesualdo.

Ediz.critica a cura di Gabriella Alfieri. Firenze, Le Monnier - Banco di Sicilia 1987, cm.17x24, pp.LI,76, brossura Edizione Nazionale delle Opere di G.V.vol.XVII.

Ediz.critica a cura di Rita Verdirame. Firenze, Le Monnier 1988, cm.17x24, pp.XLIV-466, brossura Edizione Nazionale delle Opere di G.V.

Eva. Nedda (bozzetto siciliano). Vita dei campi. I Malavoglia. Novelle rusticane. Mastro-Don Gesualdo. L'Opera del divino amore. Teatro: Cavalleria rusticana, La lupa. Lettere. A cura di Luigi Russo. Napoli, Ricciardi Ed. 1968, cm.14,5x23, pp.XXXIII,984, legatura ed.in tutta tela, Coll.Letteratura Italiana, Storia e Testi, 63.

A cura di Gino Tellini. Roma, Salerno 1980, 2 voll. cm.16x24, pp.LXII-592,VIII-616, legature editoriali in tutta tela, sopracoperte. Coll.I Novellieri italiani,85.

Milano, Garzanti 1986, cm.14x21, pp.290, num.tavv.bn.ft. brossura sopraccoperta figurata. Coll.Saggi Blu. Prima edizione.

New York, Assouline 2006, cm.31x36, pp.circa 200 di tavv.bn.e a col. legatura ed.soprac.fig.a col. Présente l'univers ponctué de paysages, de végétations et de corps qui se mélangent, du photographe italo-suisse P. Di Renzo dont le travail, très proche de la poésie, consiste à restituer ses impressions, de trouver l'équivalent exact de ce qu'il ressent.

Photos de Catherine Henriette , Yann Layma. Paris, Editions Atlas 2006, cm.27x37, pp.128,VIII, numerose figure a colori nt. Cartonné jaquette. Forêts de gratte-ciels et croissance économique arrogante : Shangai, la capitale du Sud, se lance aujourd'hui dans une course folle vers la modernité, et Pékin, sa rivale du Nord, lui emboîte le pas avec frénésie... Sous le regard éberlué des Occidentaux, la Chine s'est soudain éveillée, mais la Cité Interdite et ses palais abandonnés exhalent toujours le parfum nostalgique de la décadence impériale. Immense, diverse, riche d'hommes et de ressources naturelles, la Chine est l'héritière d'une des plus brillantes civilisations de l'Histoire. Transformée en profondeur par Mao Zendong, elle se trouve aujourd'hui prise dans les contradictions d'un régime communiste qui s'ouvre progressivement au capitalisme. Dans les grandes villes, les fast-foods jouent au coude à coude avec les restaurants ambulants et le raffinement de l'opéra chinois rivalise avec l'extravagance des karaokés. Pendant ce temps, dans les campagnes, des armées de paysans travaillent dans les rizières comme au Moyen Âge, des Bouddhas de pierre, impassibles, sommeillent dans les monastères. Par sa situation, la Chine continentale se trouve presque entièrement dans une zone tempérée, en façade orientale de l'Eurasie. La combinaison des reliefs et des climats dessine une double trame aux atouts très différenciés. En effet, la Chine occidentale des hautes terres arides, faiblement peuplées, s'oppose à la Chine des plaines et des collines orientales, soumises à la mousson et densément occupées par les hommes. Paradoxal et fascinant, fier d'une culture cinq fois millénaire et résolument tourné vers l'avenir, l'Empire Céleste vous livre ici ses plus beaux arrêts sur image.

Paris, Hachette 2004, cm.11x18, pp.204, brossura con copertina figurata a colori. Collana Littératures. L'ère contemporaine est celle d'un paradoxe : tandis que triomphe l'esthétique, jusque dans les objets les plus quotidiens et les plus triviaux, le monde de l'art se détourne des œuvres, pour proposer des démarches, des installations, des performances. Appuyant sa démonstration sur une connaissance approfondie de l'art contemporain, dont il propose une description " pour ainsi dire ethnographique ", Yves Michaud analyse les principales théories esthétiques actuelles dans leur capacité à rendre compte de cette évolution de l'art. Parallèlement, il scrute dans les modes de vie contemporains les effets d'une esthétisation de l'existence, dont il voit notamment la trace dans la mode, le culte du corps ou le tourisme. Au-delà des polémiques sur l'art contemporain, Yves Michaud constate ici son évanescence : " L'art se réfugie alors dans une expérience qui n'est plus celle d'objets entourés d'une aura, mais d'une aura qui ne se rattache à rien ou quasiment rien. Cette aura, cette auréole, ce parfum, ce gaz, comme on voudra l'appeler, dit à travers la mode l'identité de l'époque.