Il problema della guerra e le vie della pace.

A cura di Franco Contorbia. Pisa, Giardini Ed. 1984, cm.17x24,5, pp.25, fascicolo, Bibl.della Fondazione Antonicelli,2. Intonso.

Calamandrei, Capitini, Ginzburg, Mondolfo, Salvemini... Firenze, Passigli Editore 1984, cm.14,5x21, pp.299, brossura con bandelle. Coll.Il Filo Rosso,4.

Introduz.di Carmine Donzelli. Postfaz.di Luciano Cafagna. Roma, Donzelli Ed. 2006, cm.11,5x17, pp.XXVI,244, brossura con bandelle,cop.fig.a col. Coll.Saggine,98. Gli anni settanta inaugurano una stagione decisiva della democrazia italiana. Consumatesi le esperienze del centrismo e del centro-sinistra, di fronte all'intensità dei cambiamenti sociali è venuto al pettine il nodo di un più maturo sviluppo del sistema politico. I comunisti di Berlinguer hanno lanciato l'idea del compromesso storico, alla quale la Democrazia cristiana di Aldo Moro ha fatto corrispondere la strategia dell'attenzione. Ma è il compromesso storico la formula che può sbloccare la democrazia italiana? O non è piuttosto venuto il momento di porre in atto quel principio dell'alternanza al governo del paese senza il quale una democrazia rappresentativa non può dirsi compiuta? Il libro di Bobbio cerca una soluzione a questi interrogativi.

Roma, Donzelli Editore 1994, cm.11x16, pp.122, brossura con bandelle, cop.fig.a col. Coll.Saggine,1.

Schede informative di Marco Tropea. Disegni di Tinin Montegazza. Milano, Euroclub su licenza Rusconi Ed. 1978, cm.17x24, pp.322, legatura ed. sopraccop.ill.a col.

Redazione diretta da Umberto Bosco. Roma, Ist.della Enciclopedia Italiana Treccani 1981, cm.24x31, pp.760, num.ill.bn.nt.e ill.e tavv.a col.ft.anche ripiegg. legatura ed.in mz.pelle con piatti in tela,titoli e fregi in oro al dorso. [copia in eccellente stato].

Illustrated by Ronald J.Ervin. Philadelphia, J.B.Lippincott Company 1988, cm.20,5x26, pp.XVIII,(2),603,(1), centinaia di ill.in bn.nt., legatura ed.in tutta tela, titoli in bianco e oro al piatto ant.e al dorso. (firma di appartenenza al II risguardo.)

Cinisello Balsamo, Silvana Editoriale 2024, cm.17x24, pp.272, 120 illustrazioni a colori. brossura copertina figurata a colori. Collana Biblioteca d'Arte. Testo Francese. Tandis que l'espace bénéficie d'un développement séculaire depuis les débuts de l'histoire de la peinture, le temps et les temporalités associées sont plus rarement abordés. Dans les études récentes et peu nombreuses sur le temps dans les arts, les peintres du milieu lombard de la Renaissance sont laissés de côté. Le naturalisme lombard du Cinquecento semble pourtant se prêter à une telle approche. Correspondant au duché de Milan et à la partie Ouest de la République de Venise de l'époque, cette aire culturelle réunit les foyers créatifs très liés entre eux, de Milan, Brescia et Crémone. Alors que Milan, centre névralgique des échanges, avait accueilli le toscan Léonard de Vinci, modèle incontournable pour deux générations de Léonardesques attachés à la peinture d'après nature, Brescia développait la veine luministe initiée par Vincenzo Foppa, précurseur des peintres lombards. Parmi eux, Luca Mombello, élève de Moretto, est apparu comme l'un des principaux protagonistes en matière d'exploration du temps dans l'image. Quant à Crémone, fief des Campi, ses relations étroites avec la capitale lombarde et les ateliers de Brescia en faisaient un centre tout aussi impliqué dans ces problématiques. Partant des temporalités matérielles auxquelles étaient soumis la formation et le travail des artistes, notre étude se propose d'étudier la naissance de la question épineuse de la représentation du temps en peinture dans une période propice d'ouverture scientifique et de fort développement du collectionnisme. Entre mouvement et lumière, ce "terribil soggetto" retient aussi l'attention de lettrés comme le chanoine Gregorio Comanini, dans son dialogue Il Figino sur la finalité de la peinture en 1591, quelques temps après les deux traités sur la peinture du théoricien milanais Giovanni Paolo Lomazzo.