Scritti di Picasso.

A cura di Mario De Micheli. Milano, SE Ediz. 2020, cm.13x22,5, pp.210, 12, brossura copertina figurata a colori con bandelle,. Coll.Saggi e Documenti del Novecento,76. “Questo non è un altro libro su Picasso: è il libro di Picasso, pensato, raccontato, scritto da Picasso. Mario De Micheli, che lo ha curato, ha infatti riunito in esso tutte le poesie che Picasso è andato scrivendo, soprattutto intorno al ’35, e la commedia Il desiderio preso per la coda, che scrisse nel ’41 e che nel ’44 ebbe interpreti eccezionali quali Queneau, Sartre, Simone de Beauvoir; ha quindi raccolto le dichiarazioni, le professioni di fede, le lettere, le interviste fondamentali in cui si esprime nel modo più esplicito e immediato il mondo ideale di Picasso, la sua visione umana, politica, estetica; ha infine riunito gli insostituibili colloqui con Kahnweiler, l’amico e il mercante che fu a fianco di Picasso fin dagli anni eroici del primo cubismo. Ne è nata così un’opera per molti aspetti straordinaria, in cui la vitalità e la genialità di Picasso si manifestano ora in un gioco crepitante di immagini, ora nella battuta mordente, quasi epigrammatica, ora nello scatto fulminante di un’intuizione critica, nella spregiudicata allegria di un improvviso paradosso. Questo libro risulta illuminante anche per quanto riguarda l’arte di Picasso. Scoprendoci certi meccanismi interiori della sua psicologia, rivelandoci il funzionamento del suo mondo fantastico, la genesi e il processo associativo e dissociativo per cui egli giunge a dare corpo e fisionomia alle sue immagini, ci scopre anche per tanta parte l’origine, il formarsi e lo strutturarsi dei suoi modi figurativi. Quel che Picasso pensa di Michelangelo o di Rubens, di Van Gogh o di Cézanne, del Rinascimento o del cubismo; quel che dice dei suoi quadri, delle Demoiselles d’Avignon o di Guernica; i suoi giudizi su Franco e sulla guerra di Spagna o sull’impegno dell’artista contemporaneo ci consentono di avere di lui, dell’uomo e dell’artista, un’idea completa e sicura.”

Firenze, Libreria SP 44 1977, cm.17x24, pp.360, brossura soprac. Ristampa anastatica dell'edizione Firenze, 1740. Edizione in 400 esemplari.

Tradution de Sophie Yersin Legrand. Macula Editions 2018, cm.19x28, pp.390, Broché. Dans cet ouvrage richement illustré, Romy Golan explore les oeuvres murales, qu'elles soient peinture, photographie, tapisserie, etc. , en Europe des années 1920 aux années 1950. Prenant pour point de départ l'installation des Nymphéas de Monet à l'Orangerie, elle termine avec les immenses tapisseries de Le Corbusier pour le site de Chandigarh, en Inde. Entre les deux, elle brosse un large portrait de ce qu'elle considère comme le paradoxe des peintures murales, qui ne sont pas sûres de véritablement faire partie des murs et qui rejouent de manière ironique le contraste, crucial au sein du discours sur l'architecture, entre le " bien " ou l'intégré, et le " mauvais " ou pur ornement complémentaire. La peinture murale monumentale fut un point central du débat critique du XXe siècle : de nombreux artistes et critiques la virent comme un correctif aux fléaux du modernisme pictural, à la fragmentation de l'image par les cubistes, un antidote à la marchandisation de la peinture de chevalet, à la perte du sens de la finalité publique de l'art, à l'érosion de l'aura et plus généralement à l'aliénation de l'homme dans la condition moderne. D'autres, artistes et critiques, virent très bien que la peinture murale n'apportait de solution à aucun de ces problèmes et qu'un retour au format mural tel qu'il existait dans le monde prémoderne serait une posture anachronique et futile – d'où le caractère hésitant, auto-discréditant des oeuvres dont il est question dans ce livre. Pour nous montrer cela, Romy Golan nous met sous les yeux des objets aussi étranges que des mosaïques conçues pour être démontées, des peintures qui ressemblent à des photographies de grand format, des tapisseries qui font office de murs de laine portatifs. Il est vrai qu'aujourd'hui, les oeuvres murales (si l'on excepte celles que l'on trouve dans la rue) n'ont que peu d'attraits et évoquent un art désuet, ou alors connoté politiquement et d'une époque désormais révolue. En bref, la peinture murale n'intéresse pas grand monde, sans parler de la mosaïque, de la tapisserie, du photomural. C'était sans compter la lecture de cet ouvrage qui replace tout l'art mural dans son contexte artistique, politique, social en une grande fresque qui couvre en particulier la France, l'Italie, l'Allemagne et l'URSS. Romy Golan y montre que la relation incertaine de ces objets au mur est symptomatique des dilemmes qui troublèrent l'art, les artistes et les architectes européens en plein coeur du XXe siècle.

Illustraz. di L. Benett. RBA 2018, cm.16x24, pp.238, legatura editoriale cartonata copertina figurata a colori. Collezione Hetzel.

Alberti e la cultura del Sec. XV. Parma, Editrice Studium Parmense 1967, cm.15x22, pp.232, con numerose illustrazioni in bianco e nero. brossura copertina figurata. Collana Quaderni di Storia dell'Arte,3.