La Grecia. Da Micene al Partenone.

Terrail 1995, cm.24,5x34,5, pp.220 ill.a colori. brossura copertina figurata a colori. This is a popular account of Egyptian architecture which discusses building techniques and technologies before examining the great monuments of Egypt in roughly chronological succession, ending with the temples at Philae. Very attractively illustrated in colour, this remains a serious book which juxtaposes glossy (and some unusual) photos with temple plans and other pictorial sources for reconstructing the architects and builders lives.

Vslokuvat Mitsuo Nitta. Helsinki Kustannusosakeyhtio Tammi 1994, cm.28x40, pp.278 ill.col. hardcover clothbound.

Anne Stierlin (Photographe), Adrien Buchet (Photographe), Malonis Korrès (Préfacier), Béatrice Detournay (Traducteur) Paris, Edition Picard 2016, cm.25x31, pp.272, Relié. Historien de l'architecture et des civilisations, Henri Stierlin scrute depuis des années les arts de la Grèce et de l'Iran. Il a confronté ici les vestiges des temples grecs d'Ionie, datant du VIe siècle avant notre ère, avec les ruines des palais perses bâtis vingt ans plus tard en Iran, suite à l'invasion de l'Anatolie et à la déportation des bâtisseurs ioniens par Cyrus. Contrairement aux idées reçues, il affirme qu'une intense coopération s'est établie entre les Grecs d'Ionie et les Perses. Il démontre, clichés et textes à l'appui, la mise en oeuvre des techniques grecques de construction sur le célèbre site de Persépolis. Architectes, tailleurs de pierres et sculpteurs grecs sont ainsi les auteurs - au titre du tribut - des hautes colonnes à tambours superposés et des multiples personnages sculptés de la grande frise des Tributaires de Persépolis. Cette découverte l'entraîne dans une stimulante relecture des relations entre Grecs et Perses. Comparant cette frise des Tributaires à celle des Panathénées réalisée, cinquante ans plus tard, par Phidias au Parthénon, il y voit la réponse des Athéniens à la Perse. A la multitude figée des représentants des nations de l'empire achéménide, il oppose la cavalcade joyeuse des citoyens d'Athènes montant au Parthénon fêter Athéna Parthénos, entraînant le lecteur dans un éblouissant dialogue des cultures antiques.

Traduzione di Crocetti A., Maggi F., Varsallona J. Fotografie di Anne e Henru Stierlin e Adrien Buchet. Milano, Jaca Book 2016, cm.23x31, pp.272, num.figg.bn.e a col.nt. leg.ed.cop.fig.a col. Sul piano artistico si osserva che la fusione greco-persiana, successiva alla vittoria dei Persiani achemenidi su Creso e sui coloni greci d'Asia, ha dotato l'architettura degli Achemenidi di un fattore di unità, coerenza e grandezza. Il connubio tra l'ordine imperiale persiano e la sensibilità ellenica ha fatto nascere capolavori che a lungo hanno confuso gli studiosi dell'arte antica. Non sapendo se individuare una filiazione mesopotamica o un'eredità greca, gli storici dell'arte specializzati nelle culture del Vicino e Medio Oriente si sono smarriti nella valutazione di un'estetica tanto disorientante quanto seducente. Restituire le vere fonti, che sono ioniche, è l'obiettivo di queste pagine. L'arte achemenide ritrova le sue radici. Ma queste constatazioni non escludono conseguenze inattese... Il cerchio si chiude: la creazione dei grandi dipteri greci di Efeso e di Samo ispira l'edificazione dei palazzi persiani di Pasargade e Persepoli, realizzati da artigiani e creatori ionici deportati in Iran, e la prodigiosa Processione dei Tributari, scolpita da artisti ionici, suscita in Fidia la Processione delle Panatenee del Partenone di Atene. È il momento dell'affermazione del genio occidentale giunto al suo apogeo e che continua nell'Impero di Roma intriso di tradizione ellenistica.